Le nom de Vincent Lacroix est maintenant imprimé dans la mémoire de millions de Québécois. Est-ce là le lot de tous ceux qui font l’actualité ou est-ce que sa malhonnêteté aurait quelque chose à voir?

C’est la question que se sont posés les psychologues allemands Raoul Bell et Axel Buchner. Et ils ont effectivement découvert un biais : nous nous souvenons plus facilement des noms associés à la triche et autres comportements asociaux. Les psychologues spéculent : une capacité à détecter les menteurs est importante. Bien que notre capacité à cet égard soit inégale, nous serions en quelque sorte « programmés » pour nous souvenir de manière plus intense de quelqu’un qui nous a trompés, dans l’espoir de ne pas s’égarer une seconde fois.

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