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En même temps que le journaliste québécois François Cardinal publiait un livre intitulé Perdus sans la nature : pourquoi les jeunes ne jouent plus dehors, l’historienne américaine Sally Gregory Kohlstedt publiait un livre sur le même problème... tel qu’on l’abordait il y a 100 ans.

C’était l’époque où on introduisait dans les écoles ce qu’on appelait « l’histoire naturelle », dont un des buts était de maintenir le contact avec la nature chez des jeunes grandissant de plus en plus dans les villes. C’était aussi une façon pour certains professeurs plus militants de secouer le vieux carcan lecture-écriture-arithmétique, qui monopolisait l’enseignement depuis des générations, écrit l’universitaire dans Teaching Children Science : Hands-On Nature Study in North America 1890-1930.

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