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Ce n’est un secret pour personne, les joueurs de soccer aiment simuler une chute, dans l’espoir que l’arbitre leur accordera un tir au but. Des biologistes y ont vu une occasion de tester la théorie des jeux.

Celle qui dit que, même dans le monde animal, on peut tricher, si le jeu en vaut la chandelle.

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Autrement dit, si la probabilité d’une grosse récompense l’emporte sur le risque d’une grave punition.

Robbie Wilson et Gwendolyn David, de l’Université australienne de Queensland, eux-mêmes joueurs de soccer, ont passé en revue 60 parties... pour, finalement, ne pas trouver tant de fausses chutes qu’on l’aurait cru: seulement 6% des 2800 chutes étaient «hautement trompeuses».

Par contre, leur théorie a été confirmée : les joueurs étaient deux à trois plus à risque de tomber... quand ils étaient près du but adverse, là où la «récompense» potentielle est la plus élevée.

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