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Jadis, on se félicitait de voir l’ADN accepté comme preuve au tribunal. C’est à présent au tour d’une odeur de restes humains.

Dans le cadre d’un procès pour le meurtre d’un enfant, la physicienne Arpad Vass, du Laboratoire national Oak Ridge, est venue présenter un échantillon d’air recueilli dans le coffre d’une voiture : cet échantillon, a-t-elle expliqué, contient cinq des huit « signatures » chimiques ne pouvant être associées qu’à un corps en décomposition. Vass est une experte en... échantillons d’air à proximité de cadavres. Il s’agirait de la première fois qu’un tel élément de preuve est accepté dans un procès aux États-Unis.

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