Mais la technologie permet de découvrir que ces dernières ont plus d’un tour dans leur sac.
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Sur 1032 femelles nées entre 1983 et 2007 à proximité de l’Australie, et «taguées» par des biologistes locaux, 549 ont, à au moins une reprise, «oublié» de revenir sur leur plage, ce qui ne les a pas empêchées de donner naissance à un petit l’année suivante.
La géolocalisation a de plus révélé qu’elles étaient très loin des côtes lors de la saison des amours.
Deux possibilités: soit elles exercent leur libre choix, soit c’est tout simplement plus confortable de faire ça en mer —le mâle peut faire 10 fois le poids de la femelle ( Animal Behaviour ).
