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Ils font passer le temps dans le métro ou dans une salle d’attente, ils permettent aux joueurs en ligne de partager leur expérience.

Luc Richard, directeur des opérations et responsable d’une division de jeux sociaux et de jeux vidéo occasionnels au studio Ubisoft à Québec a fait le point sur ce marché en pleine expansion au Sommet international du jeu de Montréal (SIJM).

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Le troisième éditeur mondial de jeux vidéo est-il en pleine mutation? La réponse est non. «C’est une évolution parallèle aux jeux classiques sur console, un complément». Dans la capitale provinciale, l’expérience des jeux sociaux a débuté en octobre 2009. Programmeurs ou designers, l’équipe est composée d’une vingtaine de personnes.

Avec présentement sept jeux sur Facebook, Ubisoft cible les réseaux sociaux, mais l’aspect mobile, avec les téléphones portables, n’est pas négligé. Selon lui, les jeux sociaux ont un gros avantage: «le programmeur voit immédiatement le résultat et il est capable d’itérer».

Le temps des mini-jeux conçus en quelques semaines serait aussi révolu. Leur budget se situe aujourd’hui entre 500,000 et 1,000,000 $. Au cours des prochains mois, l’entreprise annonce la mise en ligne d’une demi-douzaine de jeux en ligne.

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