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Si le Japon tournait définitivement le dos au nucléaire, les perdants seraient... les Japonais.

Déjà, une évaluation récente chiffre à 40% la hausse des émissions des centrales au charbon dans l’après-Fukushima.

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L’engagement du Japon en vertu du Protocole de Kyoto —une réduction de 25% de ses émissions de gaz à effet de serre en 2020, par rapport aux niveaux de 1990— devra en effet être révisé.

Déjà, au début de 2012, les émissions ont atteint un record de tous les temps, et l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima, l’an dernier, en est la cause première.

Les Japonais ont dû se tourner plus que jamais vers le charbon, le pétrole et le gaz pour continuer d’obtenir leur électricité.

Et comme la réouverture des réacteurs (envisagée par le gouvernement pour au moins un d’eux) se heurte à une très vive opposition, les gaz à effet de serre ont encore de beaux jours devant eux.

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