Peut-être le déferlement d’annonces des 24 premières heures du nouveau gouvernement québécois y a-t-il contribué. Fermeture de la centrale nucléaire, moratoire possible sur le gaz de schiste, possibilité de redevances accrues pour les compagnies minières... Chose certaine, on aura rarement vu autant de gens remettre en doute la pertinence d’avoir des environnementalistes parmi les politiciens... après des décennies passées à se plaindre qu’ils n’étaient pas assez nombreux.
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Nos deux invités ont, à des degrés divers, un regard sur les deux univers, celui du militantisme environnemental et de la politique. Peut-on être militant et politicien? Que pensent-ils de ce débat? Où passe la ligne entre le militant de l'environnement et le professionnel de l'environnement? Qu’est-ce qui change lorsqu’on est élu?
- Josée Duplessis, conseillère d’arrondissement du Plateau Mont-Royal, où elle est élue depuis 2005. Sociologue de formation, elle se décrit comme une « environnementaliste convaincue ».
- Jean-Patrick Toussaint, écologiste de formation et chef des projets scientifiques à la Fondation David-Suzuki —un poste qui l’a amené à être plus présent dans les médias depuis l’an dernier.
En musique : un 16e épisode de la série Symphony of Science, consacré aux changements climatiques.
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Je vote pour la science est diffusée le mardi à 11h à Radio Centre-Ville (102,3 FM Montréal). Vous trouverez sur cette page des liens vers les émissions des saisons précédentes. Pour en savoir plus sur l'initiative Je vote pour la science, rendez-vous ici. Vous pouvez également nous suivre sur Twitter et nous télécharger sur iTunes.
