Un tiers des jeunes chercheurs britanniques disent avoir senti une pression susceptible de les amener à faire des accrocs à l’éthique.

Le constat provient d’une étude, menée cette année auprès de gens là-bas qui sont majoritairement postdoctorants ou nouvellement embauchés. Quelques-unes des complaintes sont prévisibles: insuffisance du financement gouvernemental, insatisfaction face au facteur d’impact comme mesure de performance...

Abonnez-vous à notre infolettre!

Pour ne rien rater de l'actualité scientifique et tout savoir sur nos efforts pour lutter contre les fausses nouvelles et la désinformation!

La revue Nature rapporte qu’un séminaire tenu en octobre à Boston a fait état des mêmes complaintes. Par contre, ce qui permet de voir ce problème sous un nouveau jour, ce sont les statistiques: 58% des chercheurs britanniques disent connaître un collègue qui a été tenté ou a subi des pressions pour compromettre l’intégrité de son travail. Et un tiers des moins de 35 ans disent avoir eux-mêmes vécu cette situation.

Je donne