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Des traces de microbes inconnus dans le métro de New York, et d’autres microbes plutôt inquiétants, comme la peste ou le bacille du charbon. Quelques semaines plus tard, l’un des auteurs de cette étude qui a fait beaucoup de bruit en retient quelques leçons sur la communication.

Ce n’est en effet pas tous les jours qu’un microbiologiste a l’occasion de produire en complément de sa recherche une jolie carte en couleur sur la distribution géographique de micro-organismes. Par contre, regrette à présent Christopher Mason, il aurait fallu expliquer un peu plus clairement qu’il y a une différence entre identifier «de l’ADN de la peste» et démontrer que le pathogène est bel et bien présent à New York (et vivant!).

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Malheureusement, note-t-il sur le site Microbe.net, cette simple mention dans notre article a suffi à créer «l’impression dans le public que les pathogènes étaient présents et bien répandus dans le métro». C’est ce qu’il appelle, dans son titre, «la longue route de l’ADN au pathogène»— un chemin peu fréquenté par quiconque a oublié depuis longtemps ses cours de biologie.

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