L’obscurité s’étend davantage sur la Syrie. Et ce n’est pas une métaphore.

En comparant des images satellites, un chercheur américain évalue que le pays est à présent 83% plus sombre, la nuit, qu’il ne l’était avant le début de la guerre civile il y a quatre ans. Les régions les plus affectées, écrit Xi Li, sont celles contrôlées par l’État islamique, mais même à Damas, la capitale, l’éclairage nocturne a diminué de 35%. Faute d’informations fiables, on peut tout au plus supposer qu’il s’agit de gens qui ont fui la région, qui sont morts ou qui ont perdu l’accès au réseau électrique ou au carburant. ( Scientific American )

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