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Le 14 juillet 1960, la Britannique Jane Goodall s’aventurait à la demande de l’anthropologue Louis Leakey dans le Parc national de Gombe Stream en Tanzanie pour étudier la vie sociale des chimpanzés. Un pied dans la forêt qui allait changer sa vie.

Loin des approches scientifiques traditionnelles, elle commence par nommer les singes Fifi, Frodo ou Goblin, entre autres, plutôt que de leur assigner un numéro. Par ses observations longues et précises sur le terrain, elle révolutionne la primatologie et l’éthologie. Elle découvre notamment que les chimpanzés peuvent fabriquer et utiliser des outils, une aptitude que l’on croyait humaine jusque-là, ou que leurs vies affectives complexes s’imbriquent dans des structures sociales très sophistiquées.

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Aujourd’hui, son implication et sa passion n’ont pas fléchi. Par le biais de son institut, elle développe avec la NASA et l’Université du Maryland un outil informatique capable de surveiller l’état de santé de l’habitat des chimpanzés depuis le ciel. Ce système apportera des éléments factuels pour décider des mesures de conservation à adopter ou évaluer la réussite de plans de conservation mis en place.

Activiste, conférencière et messagère de la paix des Nations Unies, Jane Goodall continue de défendre la cause des chimpanzés et de l’environnement à travers le monde. Pour suivre ses activités.

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