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—L’homme ne foulera peut-être pas le sol de la planète rouge avant 20 ans, mais déjà, la première colonie est à l’étude. Une rencontre peu banale se tenait en octobre dernier à l’Institut lunaire et planétaire (LIP) de Houston : le comité pour le premier atterrissage colonial martien.

Les membres du LIP, une branche en partie financée par la NASA, composaient la majorité de cette assemblée, rejoints par des chercheurs, ingénieurs et physiciens d’ailleurs. Chacun a pu proposer une zone pour l’exploration, puis chaque candidat a eu 15 minutes pour défendre son choix.

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Plus de 45 zones d’explorations ont ainsi été évoquées ; finalement, une seule sera retenue. La NASA a défini des critères stricts : pas plus de 200 km de diamètre, une aire d’atterrissage dégagée, des ressources proches et accessibles, et des zones d’intérêt pour les chercheurs.

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