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Le 18 juin 2001



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Gaz en impasse

(ASP) - Le revirement de l’administration américaine face à la réduction des gaz à effet de serre a placé ceux qui s’échinent à faire signer des traités dans une impasse : à présent, qui va bouger le premier ?

Un des arguments du président Bush est en effet qu'une éventuelle entente, comme celle de Kyoto, ne devrait pas obliger les pays industrialisés à réduire leurs émissions polluantes tout en permettant aux pays en voie de développement de continuer à les utiliser. Et ces derniers rétorquent à ceux qui tentent de leur imposer de telles obligations qu’il n’est pas question que les riches pays du Nord les empêchent d’accéder eux aussi au " développement ", en leur imposant toutes sortes de restrictions —commerciales, sociales, et maintenant, environnementales.

Bref, une impasse. Y a-t-il moyen d’en sortir, se demande le New York Times?

Les rares exemples qu’on a sous la main en font douter. Le Protocole de Montréal, signé en 1987, avec pour but de rendre illégales les substances contribuant à la destruction de la couche d’ozone, visait d’abord les pays industrialisés, la Chine et l’Inde s’étant vu accorder un délai de grâce de 10 ans. La Convention des Nations Unies sur les changements climatiques, en revanche, elle qui, en 1992 —signée par le George Bush père- allait encore plus loin, s’est avérée un échec. La différence entre les deux ? Le Protocole de Montréal —comme d’autres traités internationaux sur l’environnement ratifiés au fil des ans- s’appliquait à des composés chimiques —en l’occurence, les chlorofluorocarbones, ou CFC- qui étaient produits par un nombre limité de compagnies et pouvaient facilement être remplacés par d’autres composés chimiques, moins dommageables.

Ce qui n’est certes pas le cas du pétrole ni même, dans plusieurs pays, du charbon...

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