C’est à cette conclusion qu’est venue une étude portant sur plus de 400 jeunes de 9 à 12 ans.
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Les participants ont été divisés en deux groupes: le premier s’adonnant à des sorties agréables (ex.: visiter ses grands-parents, magasiner, assister à une partie de baseball) et l’autre effectuant des actes bienveillants (ex.: partager son lunch avec quelqu’un, donner un câlin à sa mère).
Au bout de 4 semaines, les chercheurs ont évalué le sentiment de bonheur éprouvé par chaque sujet, de même que son niveau d’acceptation dans la classe.
Ils ont constaté que les élèves ayant accompli des actes gentils se sentent plus heureux que les autres et qu’ils sont plus populaires auprès de leurs compagnons de classe.
Pour évaluer cette dernière variable, les scientifiques ont demandé aux élèves d’encercler le nom des camarades qu’ils choisiraient en priorité pour effectuer un travail scolaire.
En plus de contribuer au bonheur, la gentillesse semble constituer une façon constructive d’éviter l’intimidation.
Qu’on se le dise!
- Marie-Claude Ouellet
