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Lorsqu’un jeune se suicide, ses compagnons de classe courent davantage de risques de songer à mettre fin à leurs jours et de passer à l’acte. Fait troublant, ce phénomène touche même les jeunes qui ne connaissaient pas personnellement le disparu!

Ce risque est particulièrement élevé chez les adolescents âgés de 12 et 13 ans. Dans ce groupe d’âge, la fréquence des pensées suicidaires est cinq fois supérieure à ce qu’elle est chez des jeunes n’ayant pas vécu ce traumatisme. De plus, cet effet de «contagion» peut se poursuivre plus de deux ans après le triste événement.

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Ces données alarmantes, tirées d’une étude publiée dans le Canadian Medical Association Journal , font ressortir l’importance d’offrir un support psychologique prolongé aux jeunes exposés au suicide d’un camarade de classe.

— Marie-Claude Ouellet

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