Près de quarante ouvrages ont concouru. De tous les genres : livres savants, livres étrangers traduits en français, livres jeunesse… Les recensions publiées dans les revues (Ciel & Espace, Science et Vie, Sciences et Avenir, L’astronomie... ) foisonnent d’ouvrages de grande qualité publiés chaque année. Eh bien, c’est mon livre qui a été retenu pour cette première édition du prix. Le jury a justifié sa décision de la façon suivante : « Le livre s’adresse a priori aux enfants (à partir de 8 ans), mais il évite les écueils du didactisme et se révèle à la lecture une très bonne introduction à la thématique des météorites, étoiles filantes et autres astéroïdes pour les adultes. » Le président du jury, Roland Lehoucq a précisé Le ciel peut-il nous tomber sur la tête ? est « représentatif de ce que l’on aime lire, c’est un livre grand public, plaisant à lire, exact du point de vue scientifique ».
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Je croyais être le seul à penser cela. Le jury a convenu du contraire.
Wôw, un gros prix ? Lorsque l’on retranche l’argent consacré à l’achat de matériel photo et de fourniture de toute sorte, cela donne un peu plus de 2 dollars de l’heure travaillée. Le temps de réflexions et de maturation n’est pas pris en compte. Et puis, le prix, il faut aller le chercher (avion, auto, hôtel, repas).
Si vous désirez faire de l’argent, il y a peu de chance d’y parvenir en publiant un livre. Pour remplir vos poches, faire autre chose.
Trop cher le livre
Pour un livre vendu 14,95 $ (c’est le cas de celui-ci), si on ajoute le temps que l‘éditeur, l’imprimeur et le distributeur lui a consacré l’acheteur débourse qu’une toute petite fraction de cent pour chaque heure travaillée. Cher le livre ?
Le ciel peut-il nous tomber sur la tête ? Éditions MultiMondes
