Depuis, des chercheurs dûment patentés, des psychiatres ont recueilli des témoignages de personnes qui racontent des expériences vécues pour lesquelles aucune explication rationnelle ne peut être fournie. Des gens «ordinaires» appartenant à divers milieux sociaux ont raconté avoir vu et avoir été approchés par des entités non humaines.
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La sincérité et la crédibilité de ces témoignages n’ont jamais pu être mises en cause. Ces personnes n’ont jamais eu envie de convaincre qui que ce soit de la véracité de leurs vécus. Ils sont conscients de l’absurdité de leurs témoignages. Ils se révèlent sincères, désemparés et racontent tous la même expérience, même dans les plus petits détails. Des gens sortis traumatisés qui ont demandé de l’aide. Le psychiatre et professeur au Harvard Medical School, John E. Mack, a travaillé sur des centaines de cas. Il affirme que «Les expériences rapportées possédaient toutes les caractéristiques d’événements réels : narrations extrêmement détaillées qui, au premier abord, ne semblaient pas renfermer de structures symboliques évidentes; intenses traumatismes émotionnels et physiques, avec parfois des petites lésions apparentes sur le corps des victimes; logique et cohérence des récits jusque dans les moindres détails. Les énergies et les émotions qui traversent et bouleversent ces personnes au moment où elles font le récit de leur drame ont une intensité comparable à nulle autre que j’ai pu rencontrer à ce jour dans mon travail de thérapeute».
Face à ces témoignages, «peut-on raisonnablement considérer qu’il existe des sujets indignes d’être étudiés par la science?» se demande Stéphane Allix (voir l'encadré ci-contre pour en savoir davantage). Notre ami Albert (Einstein) n’a-t-il pas dit que «la science est la tentative de faire correspondre la diversité chaotique de l’expérience de nos sens à un système de pensée uniforme et logique».
C’est pourtant lorsque les faits observés sont incompréhensibles qu’ils sont le plus riches d’apprentissages. Malheureusement, la pensée scientifique occidentale a acquis une rigidité quasi théologique, alors que s’offre à nous un terreau fertile et prometteur de découvertes déconcertantes.
Ce qui m’amène à faire trois remarques:
1) En quoi sommes-nous inintéressants pour ces êtres?
2) Il semble que les cas étudiés se soient toujours produits dans les campagnes, hors des grands centres. Pourquoi, les créatures n’aiment pas les bouchons routiers ou ne savent pas se servir d’un GPS?
3) Les témoignages décrivent, règle générale, des créatures à peu de choses près identiques. Ils sont petits, minces, de couleur grise et ont des grands yeux noirs en amandes… et ils sont nus. Aucun vêtement, aucun costume, aucun signe distinctif. Les extraterrestres sont des nudistes.
