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En fin de semaine, je suis allé voir avec mon fils de 11 ans « Seul sur Mars ». Il s’agit probablement du meilleur film de science-fiction dure que j’ai vu depuis des années. En effet, même s’il y a de légères incohérences, règle générale, les principes physiques scientifiques y sont respectés, ce qui est plutôt rare dans un film de science-fiction.

Ce réalisme est dû au souci du détail de l’auteur Andy Weir qui tenait absolument à la rigueur technique de son roman. Par exemple, il a écrit un simulateur de mission afin de calculer la trajectoire du vaisseau spatial décrite dans son roman. De plus, la version originale de son roman a été publiée sous la forme d’un blogue, ce qui lui a permis d’ajouter des corrections suite aux commentaires de ses lecteurs. Cela en fait pratiquement le premier roman revu par les pairs.

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Le résultat est un film de science-fiction que je peux écouter sans être (trop) dérangé par les hurlements d’horreur d’une voie intérieure criant « C’est impossible!!! ». Notez que je suis assez tolérant aux erreurs de scénario comparé à un copain qui s’est levé en pleine projection de Crocodile Dundee en pointant l’écran et en criant « La Lune n’est pas dans le bon sens! ». En effet, l’action se passant en Australie, la Lune est inversée par rapport à sa position dans l’hémisphère nord.

La suite dans mon billet.

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