Quelque 95 % des structures de cette île des Antilles, ancienne possession britannique, auraient été endommagées. En date du 14 septembre, il n’y aurait plus une seule personne à Barbuda, selon ce qu’a déclaré au USA Today l’ambassadeur aux États-Unis de l’État d’Antigua et Barbuda. Lorsque l’ouragan Irma est passé, il faisait près de 600 kilomètres de large. Les évacués ont été envoyés à Antigua, l’autre île — elle aussi endommagée par Irma — de ce petit État devenu un pays indépendant en 1981.
Personne ne s’avance à prédire combien de temps ces « réfugiés » devront attendre, mais les coûts de la reconstruction de Barbuda sont sommairement évalués à 200 millions — ce qui équivaut au cinquième des revenus annuels de l’État.
Abonnez-vous à notre infolettre!
Pour ne rien rater de l'actualité scientifique et tout savoir sur nos efforts pour lutter contre les fausses nouvelles et la désinformation!
Ajout 18 septembre: Des réfugiés en colère (La Presse)
Ajout 19 septembre: Le boulet financier de la reconstruction (La Presse)