Pour ce faire, ils ont combiné un antibiotique, la polymyxine, déjà utilisé pour traiter ces bactéries résistantes avec une épitope, une molécule détectée par les anticorps. La polymyxine adhère à la membrane extérieure de ces bactéries tandis que l’épitope permet à l’anticorps de « s’accrocher » à elle. Les anticorps fixés peuvent ainsi aider à la destruction de la bactérie.
Cet « immunobiotique » permettrait donc d’attaquer la bactérie sur deux fronts via l’antibiotique et le système immunitaire. Cette nouvelle technique n’en serait toutefois encore qu’au stade préliminaire.
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— Virginie Montmartin