Chacun « y va », mais on n’en parle pas. Dans notre monde préoccupé tant par les émissions de carbone que par les polluants chimiques et nucléaires, la pollution de base que constituent les excréments pathogènes ne suscite aucun émoi. Ce tabou lié à la bienséance recouvre pourtant des millions de morts évitables chaque année. Avec une population urbaine croissante, la gestion des excréments est devenue une question vitale, aussi bien pour la santé que pour la dignité humaine.
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