Déjà bien mal en point, pollué, asséché tant par l’homme qu’en raison des conditions climatiques, le Fleuve Jaune n’avait pas besoin d’une nouvelle catastrophe. C’est pourtant ce qui est arrivé au deuxième plus grand fleuve de Chine, long de plus de 5 000 km, le 30 décembre dernier. 150 000 litres de gazole se sont déversés dans la Chishui et la Wei, deux de ses affluents, après la rupture d’un oléoduc, propriété du fleuron pétrolier chinois : la CNPC.
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