Grâce aux travaux d’un groupe de chercheurs de l’Université McGill et McMaster, on sait désormais que plusieurs marqueurs génétiques sont responsables d’augmenter les effets du syndrome du côlon irritable post-infectieux. Vous aimerez aussi Un virus suspecté de causer la sclérose en plaques Jeudi 13 octobre 2022 Sonder les profondeurs du sommeil Jeudi 13 octobre 2022 Un antitumoral pour contrer un parasite Lundi 1 mars 2021 Un coup de pouce pour la santé numérique Vendredi 25 septembre 2020 Lipides sanguins liés à l’autisme Vendredi 25 septembre 2020 La COVID-19 dans les bras de Morphée Vendredi 25 septembre 2020