Selon la Dre Johanne Renaud et ses collègues de l'Institut universitaire en santé mentale Douglas viennent de dévoiler les résultats d’une étude sur le suicide auprès de jeunes gais et lesbiennes : en ciblant des signes précurseurs de suicide comme l’anxiété, on pourrait mieux le prévenir. Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont étudié le cas de 55 enfants et adolescents s’étant suicidés et recueilli les témoignages de 55 personnes de la collectivité et de proches des victimes. La Semaine de prévention du Suicide aura lieu du 1er au 4 février; diverses conférences et activités auront lieu à l’Université Laval. Le thème : «Sortir dehors, ça fait du bien en dedans».
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