Une collaboration entre l'UCLA et l'Université McGill a mené à une découverte d’envergure en ce qui a trait au SCI: les femmes atteintes de ce syndrome sont caractérisées par des altérations structurales de régions précises de leur cerveau. Cette maladie, qui apporte douleurs et inconforts abdominaux, touche 15% de la population américaine, davantage des femmes que des hommes. Les chercheurs poursuivent donc leurs travaux pour comprendre davantage le pourquoi de cette interaction dysfonctionnelle entre le cerveau et les intestins.