Grâce à l'examen de plusieurs dizaines de milliers de données sismologiques enregistrées aux stations des réseaux mondiaux, dont le réseau français GEOSCOPE cofinancé par l'INSU, une équipe de sismologues de l'université d'Utrecht et de deux unités mixtes du CNRS-INSU (l'Ecole et Observatoire des Sciences de la Terre de Strasbourg et le Laboratoire de Science de la Terre de l'Université Lyon 1 et de l'Ecole Normale Supérieure de Lyon) viennent de mettre en évidence le caractère global d'une couche de fusion partielle située vers 350 km de profondeur. L'étude vient d'être publiée dans la revue Nature Geoscience du 26/09/2010.
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