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Deux chercheurs, l’un de l’Université McGill et l’autre de Carnegie Mellon, viennent de démontrer pourquoi certains médicaments se montrent peu efficaces chez l’humain, alors que les résultats d’études précliniques s’étaient montrés encourageants. « Un assez bon travail est réalisé lorsqu’il s’agit de prévoir le taux de réussite d’interventions qui évolueront à une étape plus avancée de la recherche clinique, a indiqué l’un des spécialistes. Cependant, lorsqu’il s’agit de faire le pont entre les études chez l’animal et les essais cliniques chez l’humain, nous faisons face à d’importants problèmes ».
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