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Naître et grandir dans une grande ville multiplie les risques de souffrir d’anxiété et de troubles de l’humeur. Une étude internationale, à laquelle l’Institut universitaire en santé mentale Douglas a participé révèle que la vie urbaine a des répercussions sur deux régions distinctes du cerveau, qui régulent les émotions et le stress. L’activité cérébrale de volontaires sains vivant à la campagne et à la ville a été observé. Suite à des expériences de résonance magnétique fonctionnelle, la vie citadine est associée à une plus forte réaction de stress dans les amygdales du cervelet, zone cérébrale jouant un rôle dans la régulation des émotions et des humeurs. Ces travaux aident à comprendre l’impact de l’environnement urbain sur les troubles mentaux et sur la santé en général.
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