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Selon une nouvelle étude publiée dans Bioscience, la coupe de bois pratiquée de façon sélective dans les forêts tropicales primaires (coupe à « impact réduit ») est incompatible avec une gestion forestière durable, en plus de n’être aucunement profitable économiquement. Les auteurs affirment entre autres que l’exploitation sélective, bien que moins dévastatrice que les coupes à blanc, transforme considérablement la forêt tropicale, laissant de 20 à 50 pour cent de la canopée ouverte et vulnérable aux incendies. Et le prochain pas, après l’abattage industriel, est souvent, observent-ils, la conversion complète de la forêt en terre agricole…
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