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Depuis deux ans, 200 000 abeilles se nichent sur le toit du pavillon des sciences de l’UQÀM. Le but derrière ce projet : l’étude de leurs habitudes dans un milieu urbain. De quel type de pollen raffolent-elles? C’est ce que l’on essaie de découvrir. De là, des espèces de plantes et de fleurs pourront être ciblées pour encourager leur expansion lors de la pollinisation. La présence de ces abeilles est vu d’un bon œil : c’est qu’elles participent à la richesse de la biodiversité.
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