... au Québec
| Semaine du 12 février 2001 |  |
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de la recherche au Québec |
(ASP) - Quelle surprise Des chercheurs qui découvrent que les hommes, en général, se nourrissent moins bien que les femmes. En fait, soyons juste, il ne s'agit pas d'une découverte récente. Mais d'une constatation qui fait suffisamment son chemin et génère suffisamment de travaux et de prises de position pour avoir justifié, la semaine dernière à Montréal, la tenue d'un colloque sur "La santé des hommes: le pouvoir de la nutrition". Une façon, pour la compagnie Hoffman-LaRoche et son Centre d'information sur les vitamines, de faire l'auto-promotion... des vitamines, justement. "Les hommes ont une approche face à la maladie et à la solution de leurs problèmes de santé qui diffère de celle des femmes", rappelle le Centre. Ils en parlent moins, ils consultent moins, et ils se nourrissent moins bien, en dépit des données qui révèlent l'importance de telle et telle vitamine pour prévenir telle et telle maladie. Et il ne faut pas attendre de miracles, rappelle Avi Whiteman, de l'Université McGill: les hommes "doivent admettre eux-mêmes qu'au plan de leurs habitudes alimentaires, il y a place à l'amélioration... Pour réussir ce virage santé, ils doivent arriver au point où ils perçoivent leur santé comme un investissement majeur." Autrement dit, c'est pas demain la veille... (15 février) Vous aimez cette capsule? L'Agence Science-Presse
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