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Le 24 août 2001




Le mongolisme par quelques gouttes de sang

(ASP) - Quelques cellules du fœtus prélevées dans le sang de la mère: c'est tout ce qu'il faudrait, en théorie, pour un test prénatal capable de détecter le mongolisme.

A l'heure actuelle, il faut plutôt en passer par une pénible amniocentèse: l'insertion d'une aiguille dans l'abdomen afin de prélever un peu du liquide amniotique. Une forme de diagnostic coûteuse et que l'on dit, de surcroît, peu efficace.

La nouvelle "stratégie" est décrite dans la dernière édition de la revue Clinical Genetics par une équipe de l'hôpital Saint-François d'Assise, à Québec. Il suffirait donc de prélever un peu de sang de la mère et d'analyser les cellules fœtales qui s'y trouvent, sans avoir par conséquent à approcher le moins du monde le fœtus.

Il faudra toutefois quatre à cinq ans, ajoute le quotidien Le Soleil, avant d'être sûr de l'efficacité de ce test prénatal, peu coûteux et sans risque.

Le mongolisme, ou syndrome de Down, appelé aussi trisomie 21, est l'anomalie des chromosomes la plus courante: un cas par 700 naissances.

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