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Récemment, les médias ont fait état de plusieurs cas de jeunes s’étant enlevé la vie après avoir été victimes de cyberintimidation.

En raison de l’expansion des moyens de communication électronique –courriels, sites Web, blogues, réseaux sociaux, messagerie texte ou instantanée–, les intimidateurs disposent de nouveaux outils pour s’acharner sur leurs victimes; ils n’hésitent pas à les utiliser pour tenir à leur endroit des propos haineux, injurieux, menaçants ou dégradants.

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En analysant les circonstances entourant 41 cas de suicides perpétrés par des jeunes de 13 à 18 ans, des chercheurs ont voulu connaître le rôle de la cyberintimidation.

Ils en sont venus à la conclusion que l’intimidation en ligne ne peut pas expliquer, à elle seule, ces actes désespérés.

La majorité des jeunes qui ont mis fin à leurs jours ont aussi souffert d’«intimidation face à face» à l’école et plusieurs d’entre eux souffraient de problèmes de santé mentale, comme la dépression.

Pour contrer les ravages de l’intimidation, il faut la dénoncer et combattre avec vigueur toutes ses facettes.

C’est l’affaire de tous: parents, directeurs d’école, enseignants, élèves, dirigeants politiques…

- Marie-Claude Ouellet

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