Financement et partenaires
Nos activités sont en partie financées par le Ministère québécois de l'Économie et de l'Innovation (MEI). Certains de nos projets sont également financés par le gouvernement du Canada et nous générons une part de revenus autonomes dans le cadre de certaines de nos activités, notamment à travers des ateliers de formations sur la désinformation et la lutte aux fausses nouvelles et la rédaction d'articles scientifiques pour des organisations tierces.
Le Détecteur de rumeurs, notre rubrique de vérification des faits, est entièrement financé par des fonds publics provenant des Fonds de recherche du Québec et du Bureau de coopération interuniversitaire.
À l’ère où tout un chacun peut produire de l’information et la diffuser à un large public, par l’entremise des réseaux sociaux, il est important de pouvoir se référer à des sites où sont démythifiées les rumeurs et fausses nouvelles en science selon un processus rigoureux de vérification. Les Fonds de recherche du Québec, dont les mandats visent notamment la production et la diffusion de connaissances, veulent contribuer à mieux faire connaître et comprendre la recherche auprès du grand public. C’est dans ce cadre qu’ils soutiennent Le Détecteur de rumeurs.
Puisque la recherche constitue un pilier de la mission de toute université, le BCI, qui regroupe les établissements universitaires québécois, juge essentiel de s’assurer de la validité des informations la concernant qui circulent dans les médias. C’est pourquoi le BCI appuie notamment le Détecteur de rumeurs, une initiative dont l’objectif premier est précisément de rendre la recherche accessible et compréhensible au grand public.
Avant de trouver un financement récurrent, le Détecteur de rumeurs avait fait l’objet, en 2016, d’une campagne de sociofinancement à laquelle plus de 100 personnes ont contribué à titre personnel. Parmi ceux-ci, mentionnons :
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Ces organisations et donateurs n’ont aucun droit de regard sur le contenu éditorial du Détecteur de rumeurs.