L’arbre révèle que la plupart des variétés sont beaucoup plus proches les unes des autres qu’on ne le pensait. Ou, en d’autres termes, que même après 6000 ans, il y aurait encore place à de la diversité, si les vignerons voulaient expérimenter. C’est une bonne nouvelle, précise l’auteur principal, Sean Myles, de l’Université Stanford : celui qui voudrait développer une vigne résistante à certaines maladies aurait encore une grosse marge de manoeuvre.
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