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Habitués à compter le temps en millions, voire en milliards d’années, les géologues débattent de la nécessité de rebaptiser l’âge géologique dans lequel nous vivons... parce que l’humain y laisse une trace indélébile.

S’ils s’entendent là-dessus, il faudra ajouter le mot « anthropocène » à notre vocabulaire. Une couche géologique dont les savants, dans un très lointain futur, remarqueront qu’elle est notamment caractérisée par la présence, partout dans le monde, d’un nombre élevé d’éléments chimiques lourds, et pas tout à fait naturels. Certains géologues croient toutefois que la décision est prématurée : ils proposent d’y réfléchir encore pendant un ou deux millions d’années.

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