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Les neurologues associent de plus en plus de nos comportements à des activités précises de notre cerveau, au point où les juristes commencent à s’y intéresser: la défense «mon cerveau m’a obligé à faire ça!», pourrait-elle être utilisée en cour?

Ou le contraire: pourrait-on déterminer l’innocence d’une personne à partir de son activité cérébrale?

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On n’en est pas encore là, mais on prépare le terrain: dans des universités américaines, des écoles de droit développent des cours sur les neurosciences, tandis que la Société royale de Londres vient de publier un rapport sur les neurosciences et la loi.

Ces futurs faits scientifiques, écrit l’un des auteurs de ce rapport, Nicholas Mackintosh, ne seront sans doute jamais entièrement noirs ou entièrement blancs, mais ils pourraient servir à atténuer une sentence... ou à l’augmenter.

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