Les universitaires américains d’origine étrangère publient en effet davantage que leurs compatriotes nés aux États-Unis.
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Et dans ce même pays, les universitaires étrangers qui ont obtenu leur baccalauréat dans un autre pays sont plus productifs.
Dans les deux cas par contre, ils sont moins satisfaits de leur sort.
Ces trois données proviennent d’une compilation des articles publiés par les chercheurs, réalisée par la National Science Foundation, l’organisme subventionnaire de la recherche aux États-Unis (Journal of Higher Education).
- Pascal Lapointe
