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Nos villes sont affamées: la métaphore décrit bien la croissance rapide, sans planification, en «avalant» tout ce qui les entoure, qui les caractérise depuis un demi-siècle.

À partir de cette métaphore, l’économiste de l’environnement Austin Troy propose des alternatives dans The Very Hungry City : si on ne peut pas empêcher une ville de croître, au moins peut-on le faire de manière plus réfléchie.

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Après tout, les villes européennes dépensent beaucoup moins d’énergie par personne que leurs comparses nord-américaines.

Le prix à payer pour ces dernières est une plus grande vulnérabilité, comme l’histoire récente l’a montré avec Détroit —passée de 2 millions à 700 000 habitants.

La victime suivante sera peut-être Phoenix, Arizona.

Construite en plein désert, cette métropole va faire de plus en plus face à des pénuries d’eau et à des canicules extrêmes.

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