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On n’essaiera pas en 10 lignes de vulgariser cette théorie de la physique quantique appelée «le principe holographique».

Mais bien qu’elle dépasse la compréhension du commun des mortels, des physiciens assurent que de simples lasers pourraient en démontrer l’existence —et révolutionner notre compréhension de la structure de l’univers.

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En gros, elle s’appelle principe holographique parce que cette théorie suppose que l’univers emmagasinerait de l’information à la manière d’un hologramme.

Le petit problème, c’est que cet «entreposage» se ferait dans un «horizon gravitationnel», et ça, c’est pas facile à voir.

Or, des physiciens de l’accélérateur de particules du Fermilab (Illinois) sont en train de monter un assemblage de miroirs et d’azote liquide appelé Holometer qui, peut-être dès 2013, pourrait «voir» à une échelle tellement petite que, espèrent-ils, un «bruit holographique» pourrait trahir la présence de ce qu’ils cherchent.

Si vous n’avez pas compris grand-chose à ce qui précède, pas d’inquiétude: vous n’êtes pas seul.

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