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Ça n’a pas fait les manchettes, mais 2013 est l’année internationale du quinoa. Un aliment très à la mode chez les adeptes des aliments biologiques et dont les surfaces cultivées ont doublé en Bolivie depuis 2005.

L’extension des surfaces cultivées et la hausse des prix provoquent d’ailleurs des conflits là-bas entre les paysans. Faut-il blâmer l’appétit des nord-américains «branchés» pour cette plante lointaine? On en parle avec un sociologue de l’alimentation et directeur d’une épicerie santé qui, même à Rimouski, a du mal à satisfaire à la demande.

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Pourquoi les Nations Unies ont-elles choisi de reconnaître le quinoa à travers cette année internationale? L’objectif premier était de souligner la valeur nutritionnelle de cette «pseudo céréale» et son rôle important dans la biodiversité andine. Un choix politique qui risque toutefois d’avoir des impacts, au point de priver certains d’une ressource alimentaire traditionnelle qui, jusqu’ici, était peu coûteuse.

Qu’est-ce qui rend le quinoa intéressant pour une nutritionniste? S'inscrit-il bien dans un régime «santé»? Pourquoi le quinoa, plutôt que le millet ou l’amarante qui peuvent pousser dans nos climats?

Nos invités:

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Je vote pour la science est diffusée le mardi à 11h à Radio Centre-Ville (102,3 FM Montréal) et disponible sur iTunes. Vous trouverez sur cette page des liens vers les émissions des saisons précédentes. Pour en savoir plus sur l'initiative Je vote pour la science, rendez-vous ici. Vous pouvez également nous suivre sur Twitter.

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