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Un cocaïnomane pourrait-il blâmer la forme de son cerveau?

Une étude suggère en effet que celle-ci pourrait expliquer que certaines personnes ne développent pas de dépendance à la poudre blanche.

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Les utilisateurs sporadiques auraient un plus gros lobe frontal, selon ces chercheurs de l’Université Cambridge, qui publient dans une revue appelée Biology Psychiatry.

L’équipe dirigée par Karen Ersche s’est appuyée sur des analyses du cerveau et des tests de personnalité, et elle tend à conclure que les différences entre les cerveaux précédaient l’usage de cocaïne.

Autrement dit, il ne s’agirait pas de gens qui auraient contrôlé leur consommation par de l’auto-discipline, mais de gens qui auraient déjà possédé, avant de commencer à consommer, un «avantage biologique».

– ASP

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