Des chercheurs croient avoir identifié les gènes responsables, et ce n’est pas une bonne nouvelle.
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Cela fait une quinzaine d’années que les experts parlent d’une croissance des punaises de lit en Amérique du Nord.
Ces insectes sont particulièrement efficaces pour occuper un nouveau territoire (un édifice à logements, par exemple), et les éradiquer coûte cher.
Une équipe de l’Université du Kentucky vient d’identifier 14 gènes présents chez 21 populations différentes d’insectes résistants aux pesticides courants: un nombre aussi élevé de gènes signifie que nos armes contre la punaise sont devenues dangereusement inefficaces, parce que la bestiole a du jeu pour s’adapter.
