Les biologistes ont contesté l’idée qu’il s’agisse vraiment de biologie. De sorte que quelques semaines plus tard, le dernier exploit des imprimantes 3D est encore en attente d’une définition: un réseau de gouttes d’eau qui imite certaines propriétés des cellules vivantes.

L’équipe de l’Université Oxford qui a «imprimé» ces gouttelettes —ou imprimé dans l’eau, tout dépendant de la façon dont on décrit la chose— voulait vraiment créer quelque chose qui possède des propriétés du vivant, mais sans ses composants essentiels que sont les cellules.

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Le résultat —un réseau qui peut grimper jusqu’à 35 000 gouttelettes— a suffisamment impressionné pour se mériter une publication le 5 avril dans la revue Science : les auteurs y voient un patron pour la fabrication de futurs tissus synthétiques destinés à remplacer des régions vieillissantes de notre corps.

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