L’homme qui vivait dans ce qui est aujourd’hui l’Espagne, fournit du coup un regard sans précédent sur ses contemporains. Son ADN révèle entre autres qu’il avait une intolérance au lactose et du mal à digérer des aliments riches en féculents —deux caractéristiques peut-être propres à une majorité de ses amis, à cette époque où l’agriculture n’avait pas encore pris racine en Europe.
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Mais la partie qui a le plus retenu l’attention est la couleur de sa peau, à l’encontre du portrait traditionnel de l’Européen préhistorique à la peau blanche que font les illustrateurs depuis toujours ( Nature ).