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Le mouvement enjoignant les universités à «désinvestir» proclame que lorsque tous les projets en cours auront été complétés, ce sont 50 milliards qui auront été retirés des portefeuilles allouant une partie de leurs fonds aux carburants fossiles.

À la mi-mars, on comptait non seulement 28 universités, mais aussi 41 villes, 72 institutions religieuses et 30 fondations qui avaient décidé de retirer, à plus ou moins brève échéance, la partie de leurs fonds de dotation qui profite à l’industrie des carburants fossiles. La grande majorité de ceux qui ont pris ce virage sont aux États-Unis, quelques-uns en Europe et en Australie. À Montréal, une centaine de professeurs de l’Université McGill ont signé cet hiver une lettre d’appui.

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La campagne «Fossil Free», née en 2012 de l’organisme environnemental 350.org, semble avoir le vent dans les voiles: en mars, le quotidien britannique The Guardian lui donnait son appui, de même que la négociatrice en chef des Nations Unies sur le climat. L’un des espoirs des organisateurs pour 2015 est d’attirer des poids lourds, comme les universités Harvard ou Oxford.

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