Appelé AirMap, c’est le résultat du travail d’une équipe de l’Université Yale, à partir de données de 2014 sur la concentration de ce qu’on appelle les particules en suspension, ou matières particulaires, d’où l’acronyme anglais PM. Leur augmentation est souvent associée à un risque accru de maladie cardiovasculaire. Lorsqu'un niveau particulièrement élevé est atteint, c’est le smog.
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L’intérêt de cette carte est que jusqu’à maintenant, le grand public ne disposait, au mieux, que des données par pays, ou pour quelques villes critiques, alors qu’ici, chaque pixel équivaut à une région de 10 kilomètres carrés. En prime, l’emplacement de centaines de centrales électriques censées être les plus polluantes du monde : le Nouveau-Brunswick en a trois, la France, une demi-douzaine.