Mais ce n’est pas seulement l’accès réduit aux denrées qui préoccupe. Selon John Porter de l’Université de Copenhague « cette étude montre surtout que les impacts sur la qualité de l’alimentation seront encore plus importants que ceux sur la quantité ». Les pays riches sont eux aussi concernés, parce qu’une alimentation appauvrie sera responsable de la multiplication de troubles comme le diabète ou les maladies cardiovasculaires, et donc de décès. D’après David Springman, le responsable de l’étude, il est possible de réagir : « il y a des stratégies adaptées auxquelles penser, on pourrait développer, par exemple, des cultures de fruits et légumes protégées ».
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- Camille Abrard