Tandis que certaines forêts récemment détruites repoussent, d’autres non, semble-t-il, en raison des changements climatiques. La disparition de ces dernières est observée en même temps que l’on reconnaît leur immense valeur... liée à leur capacité à séquestrer le carbone. Jusqu’ici, les ravages des insectes de même que ceux causés par l’homme n’ont pas suffi à empêcher les forêts, globalement, de jouer leur rôle crucial. Mais des scientifiques commencent à s’inquiéter de la fameuse « boucle de rétroaction » (« feedback loop »). Un long article du New York Times publié dans le cadre d’une riche et passionnante série.
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